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Appel à une réforme du tourisme en Thaïlande face à la chute des visites

Publié : Dernière mise à jour le 14 commentaires 4 minutes à lire
Touristes sur une plage du parc national de Mu Ko Similan, dans la province de Phang Nga.

La Thaïlande doit de toute urgence remédier à la chute libre du nombre de visiteurs étrangers, qui est plus prononcée ce trimestre.

Voir : Tourisme en déclin : la Thaïlande face à une année 2025 incertaine

Selon un ancien gouverneur de l’Autorité du tourisme de Thaïlande (TAT), il faut réformer le secteur et créer de nouvelles destinations.

Une baisse marquée des arrivées touristiques

Appel à une réforme du tourisme en Thaïlande face à la chute des visites

Touristes dans un aéroport de Thaïlande.

Yuthasak Supasornun, ancien directeur de la TAT et actuel président de l’Autorité des zones industrielles de Thaïlande, a déclaré :

« Les arrivées étrangères ont reculé de 1 % cette année au 11 mai, en raison d’une baisse du marché sud-asiatique, qui représente généralement 60 % du marché entrant. »

Il a ajouté que les marchés chinois, hongkongais et sud-coréen, qui ont respectivement reculé de 31 %, 20,8 % et 14,9 %, sont les plus préoccupants.

Le marché de l’Asie du Sud-Est a reculé de 2,2 %, avec une baisse de 15 % au Vietnam, tandis que le seul marché de la région à avoir progressé est celui de la Birmanie, avec une hausse de 13,5 %.

Les arrivées de touristes en provenance de Chine s’élevaient auparavant à 900 000 par mois, soit 30 000 par jour.

Cependant, au cours des quatre premiers mois de cette année, seuls 13 739 Chinois ont visité la Thaïlande chaque jour, a déclaré M. Yuthasak.

Le nombre total d’arrivées quotidiennes a chuté à moins de 60 000 cette année, contre une moyenne de 100 000 avant la pandémie.

De plus, le segment Mice (réunions, incentives, conférences et expositions) a également connu une baisse au premier trimestre 2025, avec un marché international en chute de 15 % et des revenus en baisse de 21 % par rapport à l’année précédente.

Une industrie en crise qui nécessite une restructuration

Appel à une réforme du tourisme en Thaïlande face à la chute des visites

Hôtel Royal Rattanakosin à Bangkok

« Nous devons mettre fin à cette chute libre et enrayer la crise du tourisme thaïlandais, en ramenant les touristes et en profitant de cette occasion pour nous restructurer afin d’attirer des visiteurs de meilleure qualité », a déclaré M. Yuthasak.

La sécurité étant devenue une préoccupation majeure des touristes, il ne suffit pas de redorer l’image du pays pour relancer le marché, car le secteur de l’hôtellerie doit être amélioré afin de regagner la confiance des voyageurs, a-t-il ajouté.

Une chute dans les classements internationaux

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Touristes devant l’île James Bond dans la province de Phang Nga.

M. Yuthasak a déclaré que le développement fondamental de l’industrie a été négligé pendant de nombreuses années, comme le montre l’indice de développement du voyage et du tourisme établi par le Forum économique mondial (WEF) en 2024.

Selon le WEF, la Thaïlande occupe la 47ᵉ place du classement, en baisse de 12 places, ce qui représente la plus forte baisse parmi les pays d’Asie du Sud-Est, avec une note moyenne inférieure à celle de la région dans tous les domaines.

Voir : La Thaïlande chute à la 47ᵉ place du classement mondial des voyages du WEF

En matière de sécurité, la Thaïlande a chuté de 16 places, tandis que la durabilité de la demande en matière de voyages et de tourisme a également plongé de 59 places.

Les concurrents ont une meilleure réputation que la Thaïlande en matière de sécurité, et le gouvernement devrait donc accélérer les améliorations dans ce domaine pour les touristes en améliorant à la fois les produits et les services, a déclaré M. Yuthasak.

Attirer des visiteurs de meilleure qualité

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La Thaïlande encourage les expériences de voyages respectueuses de l’environnement.

La Thaïlande devrait encourager les touristes à visiter de nouvelles destinations afin de rafraîchir l’image du pays, plutôt que de compter sur quelques plages et îles populaires, mais bondées, a-t-il ajouté.

En termes de produits touristiques, il a déclaré qu’il était nécessaire de stimuler en particulier le segment des touristes à fort pouvoir d’achat, notamment celui de la santé et du bien-être, ainsi que celui des voyageurs d’affaires qui souhaitent combiner leurs voyages d’affaires et leurs loisirs.

« Il est temps de passer d’une approche axée sur la demande à un modèle axé sur l’offre grâce à des produits de qualité », a déclaré M. Yuthasak.

« Cela implique de développer des produits et des services à forte valeur ajoutée pour répondre aux besoins des touristes exigeants.

Il faut aussi créer de la satisfaction et de l’enthousiasme, et renforcer un écosystème sain qui garantit une répartition juste et équitable des revenus du tourisme entre les régions et les communautés locales. »

Voir aussi :

La populaire île de Phuket résiste à la baisse du tourisme chinois

Tourisme chinois en chute : la Thaïlande lance un plan de relance

Tourisme, économie : le Vietnam en passe de dépasser la Thaïlande

Le charme touristique de la Thaïlande s’essouffle… et ça inquiète

Tourisme en crise : la Thaïlande répond aux critiques des voyageurs étrangers

Pourquoi la Thaïlande déçoit de plus en plus de touristes ?


Source : Bangkok Post

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14 commentaires

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Flo 16 mai 2025 - 12 h 09 min

Le souci, c’est qu’ils ne comprennent pas ce qui attire le tourisme de qualité.

Il faut vraiment qu’ils prennent en exemple le Japon ou la Corée.

Exemple probant : là-bas, vous n’entendrez que de la musique Coréenne ou Japonaise dans leurs bars ou restau.

La sono ne crachera jamais de la musique de m3rde commerciale US pour touristes alcooliques.

La Corée et le Japon sont fiers de la culture et ça se ressent dans tous les aspects d’un voyage dans ces pays, et ils n’attirent ainsi que les vrais amoureux de leurs cultures.

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HANSSON 16 mai 2025 - 12 h 13 min

La catastrophe touristique de la Thaïlande, dont les prémices annonciateurs ont fait surface lors de la dernière haute saison, entre début novembre 2024 et fin janvier 2025 est aux portes du pays et s’amplifie effectivement de manière inquiétante pour tout le secteur, les entreprises, commerçants, PME, agences locales, la restauration, les hôtels et locations d’hébergements et tous les autres métiers concernés de près ou de loin et tirant leurs ressources financières du tourisme international…

Laissons de côté le tourisme national qui est malade depuis plus d’un an déjà et qui agonise, faute de moyens financiers à consacrer à leurs loisirs, par une tranche de plus en plus importante de la population thaïlandaise qui voit son pouvoir d’achat qui diminue de trimestre en trimestre.

Si on se penche sur les chiffres évoqués dans cet article et en les regardant avec l’autre bout de la lorgnette, on peut résumer l’importance du tourisme chinois en 4 chiffres et une seule phrase : 412.000 arrivées par mois de chinois actuellement au lieu des 900.000 habituellement comptabilisés, soit une diminution mensuelle de 46% et sur les 60.000 touristes arrivant chaque jour en Thaïlande (au lieu des 100.000 de moyenne depuis la reprise de 2022), seulement 13739 chinois, soit 23%, en lieu et place des 50 % traditionnels !!!

Et les causes sont multiples évidemment, et en plus, les médias spécialisés enfoncent le clou en divulguant des statistiques très peu flatteuses qui voient plonger l’indice général du tourisme thaïlandais à un niveau qui nous ramène à la période des années 80.

Et toujours cette manie de vouloir « cibler » des touristes de qualité supérieure à hauts revenus, alors que la Thaïlande n’a accumulé que des échecs dans ces tentatives d’attirer des touristes fortunés lors de ces 10 dernières années, en cause, les infrastructures d’accueil (structures, logistique et personnel) nécessaires aux exigences de cette catégorie de touristes millionnaires qui ne répondent pas présent !!!

Avant de vouloir attirer une catégorie de touristes très exigeants à tous les niveaux, il serait peut-être intéressant que le gouvernement se penche très attentivement et en urgence au chevet du tourisme thailandais de « Monsieur tout le monde » pour le remettre sur pied en reprenant les rênes de l’attelage pour le remettre sur les rails de la sécurité urbaine, de la qualité des services publics, du contrôle des établissements d’accueils et des agences de voyages, d’excursions, des hôpitaux et de tous les autres services destinés à offrir à tous les touristes un séjour parfait qui faisait la réputation du pays, sans oublier les ravages de la corruption généralisée qui gangrène la vie sociale et la sécurité des citoyens, qu’ils soient thailandais ou touristes étrangers temporaires ou à long terme…

Et j’ai l’impression que le gouvernement et les responsables thailandais tournent en rond depuis des mois et des mois avec les mêmes discours, les mêmes rengaines, mais que les mesures à mettre en oeuvre ne suivent pas…

On se contente de ressortir les vieilles recettes qui appliquées avec plus ou moins d’intégrité et de compétences, se sont révélées des échecs répétés et coûteux pour la collectivité, ce qui a conduit à la situation actuelle…

Quand le ver est dans une pomme, on peut l’enlever du pommier et sauver le verger… mais quand on a laissé le papillon pondre ses oeufs dans tous les fruits, la seule solution est de détruire les arbres et de replanter et ça, cà va prendre beaucoup de temps !!!

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Jean-Pierre 17 mai 2025 - 9 h 21 min

Hansson, je suis globalement d’accord avec vous.

Néanmoins, il faut souligner que le programme Thailand Privilege, dont je suis membre, avait réussi, au cours de ces dernières années, à attirer 35 à 40 000 membres, ce qui constituait un score honorable et démontrait que la Thaïlande était en mesure d’accueillir des gens aisés financièrement.

TP a ensuite annoncé une hausse substantielle des prix de son programme, ce qui a découragé bon nombre d’adhérents potentiels (par exemple, la formule 5 ans est passée de 500 000, à 600 000 puis 900 000 bahts !).

En l’occurrence, le fait de ne pas exempter d’impôts les titulaires est une menace, à mon avis, pour ce programme à long terme.

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Jean Pierre 17 mai 2025 - 13 h 35 min

Bonjour, pour info la formule 5 ans est en promo à 650 000 bahts jusqu’au 30 juin 2025.

Pour ce prix, il vous faudra quand même pointer tous les trois mois au Bureau de l’immigration comme le retraité lambda qui lui n’aura payé que 1 900 bahts pour son visa d’un an…

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Jean-Pierre 18 mai 2025 - 18 h 41 min

Pour ma part, je ne mets les pieds à l’immigration que tous les 5 ans dans la mesure où je sors souvent du pays.

Ne pas oublier qu’il y a le fast track (et quelquefois, ça évite un long temps d’attente), le transfert en berline, etc.…, et je peux vous assurer que l’administration vous traite très bien.

Pour 500 000 bahts, à l’époque, c’était un excellent investissement.

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HANSSON 18 mai 2025 - 8 h 59 min

Oui, Jean-Pierre, effectivement, ces offres réservées aux plus fortunés des touristes à long terme et expatriés pensionnés ou autres peuvent attirer quelques dizaines de milliers de personnes intéressées, mais même si globalement, cela pourrait attirer plusieurs centaines de milliers de résidents étrangers, ceux-ci resteront, en nombre et en retour d’investissement pour la Thaïlande, minoritaires dans le PIB du tourisme international par rapport aux revenus générés par les 35 à 40 millions de touristes « lambda » dont le nombre vient compenser le niveau des dépenses largement inférieures par rapport à celles des touristes et expatriés des classes sociales plus aisées.

Alors, vouloir encore aujourd’hui étoffer davantage ou se concentrer sur des formules remaniées destinées à attirer ces rentiers fortunés dans le pays ne me semble pas être un bon calcul et « le » bon investissement en la matière pour redresser la qualité du tourisme dans son ensemble…

Ce n’est pas la « qualité » du touriste qu’il faut re-dynamiser, mais la qualité de l’offre touristique dans son ensemble, et le reste suivra, riches ou moins riches !

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Jean-Pierre 18 mai 2025 - 18 h 36 min

Une étude avait démontré que les détenteurs du visa TP dépensaient en moyenne 1.4 million de bahts par an.

Ça fait quand même 20-30 fois plus que ce que dépense un touriste qui vient quelques jours.

Ça constitue une manne…

Source

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HANSSON 19 mai 2025 - 8 h 13 min

C’est effectivement un supplément appréciable si on tient compte du calcul suivant que j’ai effectué en euros pour plus de facilité comptable :

40 000 membres du Visa TP dépensant 1 400 000 baths par an, soit 37 800 euros = 1 513 600 000 euros.

Ce montant vient s’ajouter aux revenus du tourisme court séjour dont le touriste moyen est crédité par l’Office du tourisme thaïlandais pour 2024 d’un total moyen des dépenses sur 2 semaines de séjour de 1 863 euros, multiplié par le nombre de touristes internationaux en 2024, soit environ 36 millions, = 67.068 .000.000 d’euros.

La contribution aux revenus engrangés dans les caisses de l’Office du tourisme thaïlandais des personnes fortunées ayant choisi les avantages d’un visa TP peut donc s’évaluer à 2,26 % de l’ensemble des revenus du tourisme international, ce qui n’est pas négligeable en soi.

À cela, il faut ajouter les adhérents aux autres formes de visa VIP proposés par la Thaïlande qui viendront augmenter de quelques % les dépenses annuelles des personnes aisées liées à ces autres visas de longue durée…

Même en doublant au minimum le chiffre de 2,26 % et en le portant généreusement à 5%, les responsables politiques et particulièrement ceux liés à l’Office du Tourisme doivent se rendre compte de l’impact majeur de l’ordre de 95% du tourisme court séjour de « Monsieur tout le monde », ou alors, ils sont définitivement aveugles !!!

Ce qui ne signifie pas qu’il faille jeter le bébé avec l’eau du bain !

En ces temps de doutes et d’incertitudes liés à la situation géopolitique et économique mondiale, tout ce qui peut rentrer dans les caisses de l’Office du tourisme, de quelque source que ce soit, est bon à prendre…

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Oliv 16 mai 2025 - 19 h 49 min

Je ne vais pas pleurer sur les différents gouvernements.

Je pleure plutôt sur le peuple qui paye le prix des différentes politiques sans aucune logique.

Rien que la remise en place du TM6, va faire fuir certains voyageurs : encore de l’administratif.

Pourquoi ne pas installer des casinos (s’ils ont lieu) dans d’autres villes moins touristiques ?

C’est toujours Bangkok, Pattaya, Phuket et Chiang Mai.

Autre point, ce sont aussi les expatriés qui invitent ou pas les touristes à venir.

Mais comme ceux-ci sont considérés comme des moins que rien !!!

Faire du tourisme par les hôpitaux, peut-être pour les américains, mais pour le reste de la population mondiale, j’en doute.

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DAVE 16 mai 2025 - 21 h 01 min

« Les arrivées étrangères ont reculé de 1 % cette année au 11 mai ».

1%, ce n’est pas vraiment la catastrophe…

Comparé à -15% au Vietnam.

Donc à voir, si c’est juste conjoncturel ou l’amorce d’un déclin durable.

Parce que malgré les points négatifs, le pays reste encore attractif.

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XAVIER 16 mai 2025 - 23 h 24 min

La vérité est aussi et surtout :

— La qualité des infrastructures / hôtels / services qui sont bien en baisse depuis quelques années, le touriste a l’impression d`être un consommable.

– La très très fortes inflation sur l’alimentaire, restauration et surtout l’immobilier, et indirectement les hôtels.

— La sur-urbanisation à tout-va sans en tirer les conséquences sur l’environnement, le traitement des déchets et du recyclage est une catastrophe.

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Menget 17 mai 2025 - 6 h 14 min

La Thaïlande ne récolte que ce qu’elle a semé…

Tous les endroits sympathiques aux alentours de Krabi étaient des petits paradis, ils en ont fait des dépotoirs à touristes avec surpopulation, pollution,etc…

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Nico 17 mai 2025 - 19 h 48 min

Les prix à la consommation ont très fortement augmenté ces dernières années.

Pour nous touristes, les hôtels, attractions et autres restaurants et bars, c’est de moins en moins intéressant.

On va finir par payer aussi cher qu’en Europe les hôtels et sorties !

Comment un thaïlandais de classe moyenne peut se payer des vacances chez lui à Phuket ??

Il prend une chambre entre 50 et 100 euros la nuit, va au resto avec sa femme et enfant et s’en tire pour 50 euros, il prend un verre dans un bar et paye aussi cher qu’à Paris !

Ça devient délirant !

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DAVE 19 mai 2025 - 13 h 16 min

Et bien il suffit de sortir de ces endroits touristiques sur fréquentés pour retrouver des prix corrects.

Où même dans des endroits touristiques, éviter les restaurants à touristes et aller dans les gargotes locales.

Etc…

En France, c’est pareil, vous ne paierez pas le même prix à Paris ou à Nice qu’à Guéret. 🙂

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